Campagnes d‘analyses d’eau de puits – Résumé du projet
Le projet Mon eau, mon puits, ma santé poursuit un objectif : doter la région de Chaudière-Appalaches d’une stratégique éthique et durable que les propriétaires de puits privés analysent davantage leur eau.
En Chaudière-Appalaches, 24 % de la population s’alimente en eau à partir d’un puits privé. Peu de propriétaires de puits privés font analyser leur eau selon les recommandations, soit au minimum 2 fois par année. Pourtant, ces propriétaires sont responsables de fournir une eau de qualité à leur famille et à leur visiteur. Une eau contaminée présente des risques pour la santé qui peuvent se traduire par des effets indésirables, comme des problèmes gastro-intestinaux.
Par le passé, des campagnes de sensibilisation et des actions visant à faciliter l’accès aux analyses ont eu des résultats positifs à court terme seulement. D’où l’importance de développer une stratégie qui aura un effet positif et appuiera les changements de comportement sur le long terme.
Activités réalisées
Localisation
Chaudière-Appalaches
- 2024 :
- Saint-Sylvestre
- Tring-Jonction
- Courcelles-Saint-Évariste
- 2023 :
- Saint-Gédéon-de-Beauce
- 2022 :
- Saint-Évariste-de-Forsyth
- Saint-Gédéon-de-Beauce
Partenaires
Projet-pilote (2018-2022)
Ce projet est une initiative de la direction de la santé publique de Chaudière-Appalaches, réalisé en collaboration avec la Chaire CIRUSSS de l’Université du Québec à Rimouski et le COBARIC, au nom des organismes de bassins versants de la Chaudière-Appalaches.
Le projet-pilote a été financé par le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs dans le cadre de la Stratégie québécoise de l’eau.
Projet de mise à l’échelle (2023-2026)
Parmi les partenaires de cette mise à l’échelle, en plus de ceux ayant participé au projet-pilote, il y a :
- 3 directions de la santé publique (Bas-Saint-Laurent, Mauricie-Centre-du-Québec et Estrie),
- le Centre de recherche du CISSS de Chaudière-Appalaches,
- au moins 6 organismes de bassins versants,
- une vingtaine de municipalités, dont 4 sur le bassin versant de la rivière Chaudière,
- l’Institut national de santé publique du Québec,
- le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.
La mise à l’échelle du projet est financée par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie
Coordonnées de la personne ressource
Émilie Sirois | Adjointe à la direction et coordonnatrice aux communications
emilie.sirois@cobaric.qc.ca