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Plan directeur de l’eau du bassin versant de la rivière Chaudière

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Le plan directeur de l’eau (aussi appelé PDE) est au cœur de la mission du COBARIC – l’organisme de bassin versant de la rivière Chaudière. L’organisme doit l’élaborer, le mettre à jour, ainsi que le promouvoir et en suivre la mise en œuvre. Mais qu’est-ce qu’un plan directeur de l’eau? À quoi sert-il? Qui est concerné? Retrouvez sur cette page l’information complète à ce sujet.

Plan directeur de l’eau, de quoi parle-t-on ?

Le Plan directeur de l’eau est un véritable outil de planification des actions à réaliser pour assurer une gestion saine et efficace des activités et des usages liés à l’eau sur le territoire d’un bassin versant. Cette planification est réalisée en concertation avec les acteurs de l’eau du milieu : ministères, entreprises, municipalités et MRC, producteurs agricoles, producteurs forestiers, propriétaires riverains et plusieurs autres!

Au Québec, on parle de Plan directeur de l’eau depuis 2009. En effet, cette année-là, la Loi sur l’eau (Loi affirmant le caractère collectif des ressources en eau et visant à renforcer leur protection) est adoptée. Elle définit la mission des organismes de bassin versant (OBV), de même que le plan directeur de l’eau.

Le saviez-vous?

En 1996, le COBARIC a réalisé un projet pilote de gestion intégrée de l’eau par bassin versant et a rédigé le premier Schéma directeur de l’eau au Québec, l’ancêtre du Plan directeur de l’eau!

Plan directeur de l’eau 2024-2034

Dès la fin de l’année 2022 et durant toute l’année 2023, le COBARIC et ses partenaires ont travaillé à l’élaboration du prochain Plan directeur de l’eau qui sera actif pour la période 2024-2034. Cette nouvelle planification pour la gestion des ressources en eau a été déposée le 1er mars 2024 au ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs pour approbation. Les différents livrables et documents complémentaires associés au Plan directeur de l’eau 2024-2034 sont mis à disposition pour consultation dans la section déroulante ci-après.

2025 - Stratégie de mobilisation à la mise en oeuvre du Plan directeur de l’eau

Version approuvée par le MELCCFP le 25 juillet 2025.

Consulter la stratégie

Consulter la stratégie complète (concertation et mobilisation)

2024 - Plan directeur de l’eau pour la ZGIE Chaudière (livrables)

MISE À JOUR OCTOBRE 2024 : Synthèse des orientations et objectifs par problématique approuvés par le MELCCFP.

    • Stratégie de mobilisation à la concertation (approuvée)
    • Plan directeur de l’eau 2024-2034 : Faits saillants, orientations et objectifs (en attente d’approbation)
    • Fiche diagnostique : Inondation de zones avec enjeux et débits de pointe associés (en attente d’approbation)
    • Fiche diagnostique : Dégradation hydromorphologique des cours d’eau (en attente d’approbation)
    • Fiche diagnostique : Contamination des eaux par les pesticides (en attente d’approbation)
    • Fiche diagnostique : Perte et dégradation des milieux humides, hydriques et riverains (en attente d’approbation)
    • Fiche diagnostique : Introduction et dispersion des espèces exotiques envahissantes (en attente d’approbation)

Ces documents sont le fruit d’une série de consultations et d’ateliers de travail menés en 2022-2024 avec les représentants de différents secteurs d’activités concernés par chaque problématique sur le territoire de la ZGIE Chaudière. Les acteurs de l’eau impliqués ont ainsi pris part à un processus de concertation qui a permis de co-construire une planification des ressources en eau en accord avec leurs capacités d’agir et dans l’objectif commun de cheminer collectivement vers la résolution de 5 problématiques prioritaires pendant la prochaine décennie (2024-2034).

Contamination des eaux de surface par les pesticides

Contenu à venir.

> Fiche synthèse : présentation de la problématique (pdf).

> Toute l’information concernant cette problématique (à venir).

Dégradation hydromorphologique des cours d’eau

La dégradation hydromorphologique d’un cours d’eau comprend l’altération de ses fonctions hydrologiques (mouvement de l’eau) et morphologiques (mouvement des sédiments). Cette problématique touche la rivière Chaudière et ses tributaires. Elle est associée à l’érosion et au transport sédimentaire.

> Fiche synthèse : présentation de la problématique (pdf).

> Toute l’information concernant cette problématique (à venir).

Inondation dans les zones avec enjeux et débits de pointe associés

La rivière Chaudière est connue pour ses débordements récurrents et importants. Dans le bassin versant, plusieurs cours d’eau de plus petite envergure sont aussi sujets aux inondations, notamment les rivières Beaurivage, des Fermes, Calway, Bras Saint-Victor et Famine.

> Fiche synthèse : présentation de la problématique (pdf).

> Toute l’information concernant cette problématique.

Introduction et propagation d’espèces exotiques envahissantes

Les espèces exotiques envahissantes peuvent être dangereuses pour la santé humaine, et détériorer l’habitat de plusieurs espèces végétales et animales indigènes. Plusieurs plantes exotiques envahissantes se sont installées dans le bassin versant de la rivière Chaudière, comme le myriophylle à épis, le nerprun bourdaine, l’agrile du frêne ou encore la berce du Caucase. Ces espèces, lorsqu’elles se propagent en bordure de cours d’eau menacent la stabilité des berges, et augmentent les risques d’érosion, de sédimentation, etc.

> Fiche synthèse : présentation de la problématique (pdf).

> Toute l’information concernant cette problématique.

Perte ou dégradation des milieux humides, hydriques et riverains

La dégradation des milieux humides, hydriques et riverains implique la perte ou l’altération des habitats fauniques et floristiques qui leur sont associés.

Depuis 2017, le principe d’aucune perte nette a été intégré à la Loi sur l’eau. Ce principe implique d’éviter les interventions dans
les milieux humides et hydriques, de minimiser l’impact de ces interventions le cas échéant, et de compenser la dégradation ou la perte de milieux lorsqu’inévitable.

> Fiche synthèse : présentation de la problématique (pdf). 

Toute l’information concernant cette problématique (à venir).

Bilan de la mise en oeuvre du Plan directeur de l’eau 2014-2022

  • Bilan de la mise en œuvre du dernier Plan directeur de l’eau pour le bassin versant de la rivière Chaudière.
  • Liste des projets réalisés dans le cadre du PDE 2014 et précédent.

Le suivi et la mise en oeuvre du Plan directeur de l’eau (PDE)

Une fois le PDE approuvé par le gouvernement du Québec, les acteurs de l’eau et l’OBV peuvent travailler ensemble à la mise en oeuvre des actions. Ensemble, les acteurs se mobilisent afin d’agir et de contribuer à l’avancement des objectifs fixés. Le COBARIC peut même être responsable de certaines actions, ce qu’il fait en allant chercher des subventions et contributions auprès de différents acteurs.

Bien entendu, le territoire est grand, et les acteurs sont nombreux! Il est donc parfois difficile de savoir tout ce qui se passe dans le bassin versant de la rivière Chaudière. C’est pourquoi nous vous invitons à communiquer avec nous si vous posez des gestes pour la ressource eau. Nous pourrons ainsi inscrire vos actions au sein du PDE.

Le Plan directeur de l’eau du COBARIC ainsi que tous les documents annexes sont disponibles gratuitement sur le site web du COBARIC. Ils servent de référence pour vos planifications ainsi que pour évaluer les propositions de projets, qui peuvent être émises aussi bien par des particuliers que par des professionnels. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir davantage.

Actions réalisées

Le Plan directeur de l’eau du bassin versant de la rivière Chaudière comprend un plan d’action.

Ce plan d’action est construit par les acteurs de l’eau économiques, sociaux, communautaires et municipaux. Il liste les actions que chaque secteur d’activité réalise dans le but d’améliorer l’accès, l’état ou la disponibilité des ressources en eau sur le territoire.

Le COBARIC participe également à l’avancée du Plan directeur de l’eau en étant maître d’œuvre de plusieurs projets chaque année. Cliquez ici pour voir la liste des projets en cours de réalisation.

Coordonnées de la personne ressource

Directrice générale | Véronique Brochu
direction@cobaric.qc.ca

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LA FAQ DE LA CHAUDIÈRE

Des réponses simples pour toutes les questions que vous vous posez sur la rivière Chaudière et son bassin versant.

BAIGANDE, PÊCHE, ACCÈS À L’EAU

Accès aux plans d’eau (questions fréquemment posées)

Y’a-t-il des accès à la rivière Chaudière?
Oui, mais seulement sur les terrains publics ou ceux autorisés par les municipalités. Si le terrain est privé, il faut avoir la permission du propriétaire. Sinon, c’est interdit par la loi. Il est toujours bon de vérifier auprès de la municipalité avant d’aller à la rivière. > Pour mieux comprendre les règles, consulter : Éducaloi – Accès aux lacs et rivières : quelles limites?.

Où peut-on trouver l’information sur les accès publics à l’eau, notamment pour la pêche ou la mise à l’eau dans la rivière Chaudière?
Il n’existe pas de carte officielle des accès publics à l’eau. Pour la rivière Chaudière, consultez votre municipalité ou les ententes d’accès à l’eau (EAE). Certaines régions offrent des cartes. Le site de l’Atlas de l’eau du ministère de l’Environnement permet aussi de repérer des usages comme la pêche ou la mise à l’eau, selon le plan d’eau et la municipalité

Baignade (questions fréquemment posées)

Où peut-on se baigner en toute sécurité dans la région?
Il est conseillé de consulter les avis de baignade émis par Québec.ca – Environnement-Plage. Ce site indique si la plage est ouverte ou fermée pour des raisons de qualité d’eau. Les municipalités locales peuvent aussi fournir l’information. La qualité de l’eau peut changer selon le climat et les activités autour du plan d’eau.

Pourquoi certaines plages sont-elles temporairement fermées à la baignade?
Les fermetures temporaires surviennent souvent après de fortes pluies, en cas de pollution ou lors de la présence d’algues bleu-vert. Ces situations peuvent nuire à la qualité de l’eau et poser des risques pour la santé (irritations, infections, nausées, etc.). Les fermetures sont préventives et visent à protéger le public. Il faut toujours respecter les avis affichés ou annoncés.

Que faut-il faire lorsqu’un avertissement de « non-baignade » est émis?
Il est essentiel d’éviter tout contact avec l’eau, même si elle semble propre ou attrayante. Des bactéries, virus ou contaminants invisibles peuvent être présents et causer des problèmes de santé. Pour connaitre les recommandations des panneaux d’informations sur les plages, consultez le site du Gouvernement du Canada.

Quels réflexes adopter avant de se baigner dans un lac ou une rivière?
Avant de se baigner, vérifiez les avis en ligne ou auprès de la municipalité. Évitez la baignade après de fortes pluies ou si l’eau est trouble, mousseuse ou malodorante. Se rincer après est recommandé. Le ministère de l’Environnement publie des mises à jour pour les plages de Chaudière-Appalaches et de l’Estrie. Consultez aussi la page du CISSS sur la baignade en eau naturelle.

Pourquoi est-il déconseillé de se baigner juste après une forte pluie?
La pluie entraîne des polluants vers les lacs et rivières, comme des bactéries, des pesticides ou des produits chimiques. Cela augmente les risques d’infections ou d’irritations. Il est donc recommandé d’attendre un peu avant de retourner à l’eau. Cela aide à protéger votre santé.

La qualité de l’eau des plages de la région est-elle surveillée régulièrement?
Oui. Le programme Environnement-Plage permet d’analyser l’eau des plages publiques chaque été pour détecter des bactéries. De 2 à 5 échantillons sont prélevés par saison, puis une cote de qualité de A à D est attribuée. Les résultats pour les plages de Chaudière-Appalaches et de l’Estrie sont disponibles sur le site du ministère de l’Environnement.

Quels sont les risques pour la santé si je me baigne?
Se baigner dans une eau contaminée peut causer des maux de ventre ou des irritations de la peau, des yeux et des oreilles, à cause de bactéries ou virus. Les risques augmentent après une forte pluie. Il est donc préférable de se baigner dans des lieux surveillés. Pour plus d’informations, consultez le site du Gouvernement du Québec sur la santé et la baignade.

Pêche (questions fréquemment posées)

Peut-on pêcher partout?
Non, la pêche est encadrée par une réglementation provinciale stricte. Certaines zones sont interdites pour protéger les espèces ou l’écosystème. Il est donc important de vérifier les zones permises, les périodes autorisées et les règles propres à chaque secteur. Pour cela, vous pouvez consulter le site général du gouvernement sur la pêche ainsi que la carte interactive des zones de pêche et de leurs spécificités.

Peut-on manger les poissons pêchés?
Oui, mais avec certaines précautions. Certains poissons contiennent des métaux comme le mercure, selon l’endroit où ils ont été pêchés. Le gouvernement publie des recommandations pour chaque espèce et plan d’eau. Il est important de les suivre pour votre santé. > Pour plus d’information, consulter leur Guide de consommation du poisson de pêche sportive en eau douce.

Où trouver les règles de pêche?
 Toutes les règles de pêche sportives, incluant les quotas, tailles minimales, périodes de pêche et engins permis, sont disponibles sur le site du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Ces règles changent selon les zones de pêche et les saisons. Il est essentiel de les consulter chaque année avant de pêcher.

Quelles espèces de poissons peut-on pêcher dans la rivière Chaudière?
La rivière Chaudière abrite plusieurs espèces d’intérêt sportif comme l’achigan à petite bouche, le doré jaune, la truite mouchetée, l’ouananiche et le grand brochet. Leur présence dépend de la qualité de l’habitat aquatique et de la saison.  Pour plus d’infos, le site du MELCCFP propose un portrait de la diversité des poissons dans le Bassin versant de la rivière Chaudière.

QUALITÉ DE L’EAU

Généralités sur la qualité de l’eau (questions fréquemment posées)

Qu’est-ce que la qualité de l’eau?
La qualité de l’eau, c’est ce qui permet de savoir si l’eau est bonne pour boire, se baigner ou pour la vie aquatique. Elle peut changer selon ce qu’on fait dans la nature (agriculture, construction, etc.) et selon le climat. Pour plus d’info, consulter les sites du gouvernement du Québec d’eau potable et d’eau récréative.

Comment mesure-t-on la qualité de l’eau?
On prélève de l’eau sur le terrain pour l’analyser en laboratoire. On y vérifie des éléments comme le pH, les coliformes fécaux, les nitrates, les phosphates et les métaux lourds. Les résultats sont ensuite résumés avec un indice comme l’IQBP (Indice de qualité bactériologique et physicochimique), qui regroupe les données en un seul score allant de très mauvaise à excellente qualité. > Consulter les derniers résultats (2022-2024)

Qui surveille la qualité de l’eau dans la région?
Le gouvernement du Québec, par l’entremise du Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), coordonne la surveillance avec l’aide de plusieurs partenaires. Des groupes comme le COBARIC, des municipalités et même des bénévoles participent aussi. Il existe des programmes comme Le Réseau de surveillance volontaire des lacs (RSVL), Réseau-Rivières, et le programme Environnement-Plage.

L’eau d’une rivière est-elle potable?
Non. Il ne faut jamais boire directement l’eau d’une rivière, car elle peut contenir des microbes ou des polluants. Avant d’être consommée, elle doit subir un traitement dans une usine de filtration et ainsi traité. Pour plus de renseignements, consulter les règlements sur la qualité de l’eau potable du gouvernement du Québec.

Comment peut-on savoir si l’eau d’un cours d’eau est de bonne qualité?
La qualité de l’eau se mesure à l’aide d’analyses réalisées sur des échantillons prélevés dans les rivières. Ces analyses portent sur des éléments comme le pH, les coliformes fécaux, le phosphore ou les nitrates. Des indices comme l’IQBP permettent de résumer l’état global de l’eau. Pour plus d’information, visiter : la carte interactive du gouvernement ou Le Réseau de surveillance volontaire des lacs (RSVL).

Lacs (questions fréquemment posées)

Quels lacs sont suivis pour la qualité de l’eau?
Dans la zone Chaudière, 14 lacs sont en observation, dont le Lac des Abénaquis, Lac Algonquin, lac du Club de conservation de la du Loup, Lac aux cygnes, lac fortin, lac à France, lac Poulin, Lac Raquette, Lac rond, lac Sartigan, Lac des iles, Lac Drolet, Lac Mégantic et lac des Trois-Milles. Pour plus d’information, consultez-le Le Réseau de surveillance volontaire des lacs (RSVL).

Qu’est-ce que l’eutrophisation et pourquoi est-ce un problème?
L’eutrophisation est quand un lac reçoit trop de nutriments, comme le phosphore. Cela fait pousser trop d’algues, qui consomment l’oxygène de l’eau et mettent les poissons en danger. Ce déséquilibre rend l’eau moins saine et affecte les usages récréatifs. Pour plus d’infos, consulter le site du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP)

Pourquoi les algues bleu-vert représentent-elles un danger pour l’eau et la santé?
Ces algues peuvent libérer des toxines qui sont dangereuses pour les humains et les animaux. Elles apparaissent surtout l’été, lorsque l’eau est chaude et pleine de nutriments. Le contact avec cette eau peut causer des démangeaisons, des vomissements ou des malaises. Éviter alors de vous baigner ou de boire l’eau quand une floraison est visible. Pour plus d’information : (MELCCFP)  et notre fiche informative .

Sources de pollution (questions fréquemment posées)

Quelles activités humaines sont les principales sources de pollution de l’eau?
L’agriculture, les égouts, les routes, les rejets industriels, ou même certaines maisons peuvent envoyer des polluants dans l’eau. Cela nuit à l’équilibre des écosystèmes aquatiques et à la santé publique.

L’agriculture est-elle la principale responsable de la pollution de l’eau?
C’est une cause importante, mais il y en a d’autres. Tous les secteurs (ville, industrie, routes, maisons) peuvent avoir un impact. Il est donc important de nuancer et d’adopter une approche globale de la gestion de l’eau.

Est-ce que les fosses septiques peuvent polluer les cours d’eau et les lacs?
Oui, surtout si elles sont mal entretenues ou trop vieilles. Une installation septique défectueuse peut contaminer le sol ou les cours d’eau avoisinants avec des matières organiques et des bactéries non traitées. Un entretien assidu et une mise aux normes lorsque nécessaire sont donc essentiels.

Une personne vivant en ville peut-elle contribuer à la pollution de l’eau?
Oui, en ville ou en campagne, tout le monde a un impact sur la santé des rivières. Notre campagne Nos rivières sont précieuses en est un exemple. En effet, elle sensibilise les citoyens à leur impact sur la qualité de l’eau et propose des écogestes à adopter chez soi comme récolter l’eau de pluie, planter des arbres, réduire l’asphalte, etc.

Santé et environnement (questions fréquemment posées)

Pourquoi la qualité de l’eau est-elle essentielle pour la biodiversité?
Les poissons, grenouilles, plantes et insectes ont besoin d’une eau propre pour vivre. Quand l’eau est polluée, elle devient difficile à respirer et à habiter pour ces espèces. Cela peut provoquer la disparition de certains animaux ou plantes. Et quand une espèce disparaît, la chaîne alimentaire peut être déséquilibrée.

Suivi et protection (questions fréquemment posées)

Qu’est-ce que le COBARIC fait concrètement pour améliorer la qualité de l’eau?
Le COBARIC est un organisme régional qui protège l’eau de la rivière Chaudière et des lacs environnants. Nous réalisons des projets comme le reboisement ou la restauration des rives, et travaillons avec les municipalités. Tout en sensibilisant le public, notre but est de garder nos rivières en santé. Pour découvrir nos actions ou vous impliquer, visitez notre site web.

Comment peut-on aider en tant que citoyen à protéger nos rivières?
Chacun peut faire sa part en posant des gestes simples : entretenir sa fosse septique, limiter les engrais chimiques, planter des végétaux en bordure de cours d’eau, ou signaler un déversement inhabituel. Vous pouvez aussi participer à une activité de nettoyage des berges. Découvrez les écogestes à portée de main ou encore joignez-vous à une corvée de nettoyage.

INONDATIONS

Questions fréquemment posées sur les inondations

Quelle est la définition du mot inondation ?
Une inondation, c’est quand le cours d’eau déborde et recouvre les environs. L’eau peut atteindre des terrains, mais aussi les routes, les bâtiments ou d’autres installations humaines.

Qu’est-ce qu’une zone inondable?
Une zone inondable est un espace occupé par un cours d’eau lorsqu’il déborde. Cette zone est réglementée selon des zones de récurrence. Les zones de récurrence communément utilisées dans le bassin versant de la rivière Chaudière sont les suivantes :

    • Zone 0-2 ans (récurrence 2 ans) : Dans cette zone, la possibilité qu’une inondation se produise à chaque année est de 1 chance sur 2, soit 50 %.
    • Zone 0-20 ans (récurrence 20 ans) : Dans cette zone, la possibilité qu’une inondation se produise à chaque année est de 1 chance sur 20, soit 5 %.
    • Zone 20-100 ans (récurrence 100 ans) : Dans cette zone, la possibilité qu’une inondation se produise à chaque année est de 1 chance sur 100, soit 1 %.

Pourquoi la rivière Chaudière inonde-t-elle régulièrement?
Historiquement, de nombreuses villes et villages se sont implantés à proximité des cours d’eau, facilitant l’accès à l’eau potable et aux transports. Toutefois, cette proximité a aussi rendu les infrastructures et habitations plus vulnérables aux crues. La géographie du bassin versant de la rivière Chaudière, combinée à des facteurs climatiques comme les tempêtes et les précipitations abondantes, contribue à la récurrence des inondations.

Débit de pointe, qu’est-ce que ça veut dire ?
C’est la quantité d’eau qui s’écoule dans un temps donné, mais en fonction d’un événement de pluie ou de fonte de neige précis. Cette quantité est évaluée au plus fort de l’événement ou juste après celui-ci. Chaque cours d’eau a un débit de pointe qui lui est propre. Celui-ci varie tout au long du cours d’eau, selon différents repères géographiques.

Qu’est-ce que la résilience aux inondations?
La résilience aux inondations, c’est la capacité d’une communauté, d’un territoire ou d’un environnement à mieux résister aux inondations, à limiter les dommages et à se rétablir plus rapidement après un événement. Cela passe par des aménagements réfléchis, une bonne préparation, une adaptation des infrastructures, et des actions pour protéger et renforcer les milieux naturels.

Y-a-t-il eu des études sur la rivière Chaudière au sujet des inondations?
Oui, il y en a eu plusieurs. Elles sont listées à la fin de notre article intitulé « Gestion des inondations de la rivière Chaudière : Prévention, Surveillance et Acquisition de connaissances ». 

FAUNE ET FLORE

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Personne ressource

Directrice générale | Véronique Brochu

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1442, route du Président-Kennedy, bureau 140
Scott (Québec) G0S 3G0

Téléphone : 418-389-0476
Ligne berce : 581-224-6671
cobaric@cobaric.qc.ca

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